Fiche technique
Nom original | Popeye the Sailor |
| Popeye le marin |
Origine | Etats Unis |
Année de production | 1933-1957 |
Production | Fleischer Studios, Famous Studios, Paramount Pictures |
Nombre d'épisodes | 231 (109 chez Fleischer + 122 chez Famous) |
Auteur BD | Elzie Crisler Segar |
Réalisation | Dave Fleischer, Carl Urbano, Seymour Kneitel, Dave Tendlar, Dan Gordon, Isadore Sparber, ... |
Production | Max Fleischer, Dave Fleischer |
Producteur exécutif | Adolph Zukor |
Scénarii | Jack Mercer, Tom Sims, Carl Meyer, Bill Turner, George Manuel, Joseph E. Stultz, Tedd Pierce, ... |
Story-boards | Robert Little, Anton Loeb, Shane Miller, Robert Connavale, Tom Ford, Joseph Dommerque, ... |
Animation | Seymour Kneitel, Dave Tendlar, Roland Crandall, Joseph Digalo, Sidney Pillet, George Rowley, ... |
Chara-Design | Elzie Crisler Segar, Bill Zaboly |
Musiques | Winston Sharples, Sammy Timberg, Sammy Lerner thème de Popeye |
Adaptation française | Joseph Tzipine 1989, Emmanuel Fouquet 1990s, Alain Léguillon 1990s, Michel Trouillet 1990s |
| » Staff étendu |
Synopsis
Qui ne connaît pas les histoires de Popeye ? Célèbre marin, il se bat contre Brutus pour remporter l'affection d'Olive, impressionnée par n'importe quel exploit. Chaque épisode est relativement identique : Brutus, le gros et barbu, essaie d'enlever la grande et maigre Olive, mais Popeye veille au grain. Il fonce alors tête baissée vers Brutus qui le repousse. Mais heureusement, Popeye a toujours sa boîte de conserve remplie d'épinards qu'il avale d'un trait et qui augmente incroyablement sa force musculaire. Brutus n'aura plus qu'à subir la colère de Popeye...
Commentaires
C'est dans le comic strip The Thimble Theater (du New York Journal, appartenant à l’éditeur presse King Features) que naît Popeye le marin, sous le crayon d'Elzie Crisler Segar, le 17 janvier 1929.
D’abord connu en français sous le nom de « Mathurin », il n'est alors qu'un personnage secondaire, un marin chargé d'emmener en voyage Olive Oyl (de olive oil, « huile d'olive »), son petit ami Harold Harmgravy et son frère, Castor Oyl (de castor oil, « huile de ricin »). Le personnage, inspiré par une vieille connaissance de Segar, rencontra vite un gros succès, et prit de l'importance au point de devenir le personnage principal (le strip est rebaptisé The Thimble Theatre Starring Popeye), supplantant Harmgravy en devenant le nouveau petit ami d'Olive malgré un physique plutôt ingrat : il est petit, chauve et borgne (son nom vient d'ailleurs du terme pop-eye, « œil crevé »), mais il se bat toujours pour ce qui est juste. Le petit monde de Popeye, dans ces BD, s'élargit alors. On y trouve déjà Mimosa (le fils adoptif de Popeye), l'amateur de sandwichs Gontran (Wimpy en VO), Eugène (sorte d'animal aux pouvoirs magiques), Alice la Bizarroïde (créature qui effraya le jeune public au point que son apparence fut adoucie et devint la baby-sitter de Mimosa !), sans oublier la Sorcière des mers (Sea Hag), ennemie jurée de Popeye et un certain Bluto (Brutus dans nos VF), fils de cette même sorcière... Les épinards sont déjà là aussi, mais s'ils sont le plat préféré de Popeye, en aucun cas ils ne lui donnent sa super force, qu'il a, alors, en permanence...
Au début des années 1930, les studios Fleischer, alors connus pour Betty Boop ou Koko le clown, cherchent à adapter des bandes dessinées en animation ; ils signent un accord avec King Features en 1932 afin d’adapter les aventures de Popeye, sans savoir qu’il s’agirait de leur plus grand succès. Introduit d'abord dans un court métrage de Betty Boop (comme une sorte de pilote), Popeye devient le héros de sa série de cartoons en 1933 (distribuée par la Paramount), dans laquelle le synopsis est presque invariablement le même : la lutte avec Brutus, qui devient son ennemi attitré, pour la « possession » de la belle Olive (dans des situations ou des rôles sans cesse différents). Si on y retrouve également une partie des personnages secondaires tels que Mimosa, Gontran, les neveux de Popeye ou encore Eugène, d’autres comme la Sorcière des mers passent à la trappe. Comme d’habitude chez les Fleischer, un soin particulier est apporté autant à l’animation et aux visuels, qui bénéficient des innovations techniques mises au point par les frères Fleischer (comme les décors en relief…) et évolueront naturellement au fil des ans, qu’à la musique et aux chansons, qui se conjuguent parfaitement entre eux (via la technique de « mickey mousing », très répandue dans les dessins animés de l’époque, qui consiste à synchroniser musique et animation). D’ailleurs, le thème musical « I’m Popeye the Sailor Man » composé par le jeune compositeur Sammy Lerner est attitré au personnage dès sa première apparition animée ; la chanson, très vite célèbre, deviendra le thème principal du marin et sera entendue à chacune de ses aventures, au point d’être indissociable du personnage, encore aujourd’hui. Enfin, les animateurs font le choix intelligent d’associer la force surhumaine de Popeye à des épinards, qu’il mange systématiquement lorsque la situation tourne mal. Il parvient alors à neutraliser ses ennemis, le plus souvent de manière très « cartoonesque » et divertissante. Un concept qui contribuera à la popularité des cartoons et deviendra incontournable, au point d’être repris dans la bande dessinée par Segar lui-même !
En effet, ces ingrédients, couplés à l’originalité du personnage de Popeye, feront de ces courts métrages une véritable sensation dans les cinémas américains. En 1935, on dit même de Popeye qu'il est plus populaire que Mickey Mouse ! Le succès est tel que la consommation d’épinards explose, en particulier chez les jeunes enfants américains (+33% en 1934 !). Ce succès profite également à la BD d’origine qui voit son lectorat augmenter d’année en année. 109 cartoons seront produits avant que les studios, remaniés suite au départ des frères Fleischer en 1942, ne changent de nom pour se transformer en « Famous Studios » et ne poursuivent l'aventure, toujours en noir-et-blanc dans un premier temps avant d’enfin passer à la couleur à partir de 1943 (avec l’épisode 123, « Her Honor the Mare ») ; il est à noter cependant que des moyens métrages en couleurs, adaptant certains contes des Mille et Une Nuits dans l’univers de Popeye, avaient déjà été produits par les studios Fleischer à quelques occasions dans les années 1930. Avec la Seconde Guerre mondiale, Popeye s'engage dans l’US Navy en 1941, et change de look : son tee-shirt noir et son pantalon bleu cèdent la place à un ensemble blanc qu'il gardera jusque dans les années 1960, au-delà des cartoons originaux… Durant les années 1940 et 1950, les nouveaux courts métrages perdent de leur attrait et s'éloignent considérablement de l'esprit de Segar (décédé en 1938) ; l’univers de la BD était de moins en moins exploité en dehors des protagonistes principaux, et les histoires se rapprochaient plus dans leur humour des Looney Tunes de la Warner, voire même des Tex Avery (qui commençaient à cartonner à cette époque) au détriment de l’originalité : en ressort alors des épisodes plus fades et moins passionnants… La série était également victime de nombreuses plaintes de parents pour violence, qui s’accumulaient en raison des combats omniprésents. La production s’arrête finalement en 1957, pour un total de 231 cartoons.
En 1956, le distributeur Associated Artists Productions (A.A.P.) acquiert, auprès de la Paramount, les droits de l’intégralité des cartoons de Popeye (y compris ceux qui sortiront après l’accord), qui sont alors rediffusés à la télévision américaine ; les génériques furent modifiés voire raccourcis afin de masquer le nom et logo de la Paramount, qui à l’époque se méfiait de la télévision et ne voulait plus être associée à ces cartoons lors des rediffusions (ces versions modifiées seront d’ailleurs les seules versions diffusées jusqu’aux années 2000). Chez nous, après avoir été diffusé au cinéma dans les années 1930-50, Popeye apparaîtra sur la première chaîne de l'ORTF à partir des années 1960 ; les cartoons marqueront également les spectateurs français grâce à leurs nombreuses rediffusions, en bouche-trou de programmation ou dans diverses émissions jeunesse. Si aux États-Unis, la voix de Popeye la plus connue est Jack Mercer (également scénariste d’une grande partie des cartoons) puisqu’il aura interprété le personnage de 1935 à sa mort en 1984, les spectateurs français auront surtout été marqués par la prestation de Pierre Trabaud (Daffy Duck, Tortue Géniale dans Dragon Ball…) qui a prêté sa voix au personnage dans nombre de ses apparitions animées, dont les cartoons bien évidemment. Les rediffusions de ces derniers rencontrent un tel succès qu’elles relancent rapidement la popularité du personnage et en éclipsent presque la bande dessinée ; ce succès d’audience poussera même King Features, qui souhaite capitaliser un maximum sur le personnage, à produire d’eux-mêmes une toute nouvelle série destinée exclusivement au marché de la télévision, alors en pleine croissance. Diffusée à partir de 1960, cette nouvelle version, plus proche du comic strip d’E.C. Segar, rencontrera elle aussi un grand succès et prouvera une fois de plus l’incroyable popularité du personnage. S’en suivront alors d’autres productions plus ou moins réussies autour du marin, dont un film live en 1980 avec Robin Williams dans le rôle de Popeye, ou encore un film d’animation en 3D pour fêter les 75 ans du personnage en 2004 ! Bien qu’aujourd’hui il fasse de moins en moins parler de lui, le marin et ses épinards resteront à jamais ancrés dans les mémoires de plusieurs générations de spectateurs.
Malgré la popularité et l’influence culturelle énormissimes des cartoons, ils n’ont pendant longtemps jamais bénéficié d’édition officielle en vidéo, aux USA comme dans le reste du monde, en raison d’un conflit entre les ayants-droits successifs de ces cartoons (United Artists, qui avait racheté AAP en 1958, puis Turner Entertainment) et King Features, qui possèdent toujours les droits des personnages ; ainsi, pendant de nombreuses années, le seul moyen de se les procurer était les nombreuses compilations pirates qui reprenaient le plus souvent des épisodes tombés dans le domaine public, aux côtés d’autres productions Fleischer comme Superman, Betty Boop, les Color Classics… Mais ce n’est qu’à partir de 2007 que les cartoons sortent pour la première fois en vidéo de manière officielle, via la Warner qui éditera plusieurs coffrets DVD/Blu-ray en version restaurée (malheureusement inédits en français) et approuvés par King Features ; cela dit, un DVD de l’émission Ça cartoon, dédié à Popeye, était sorti deux ans auparavant en France (mais bien qu’on y retrouve des VF officielles, les cartoons choisis faisaient là aussi partie du domaine public…). C’est également Turner qui avait fait coloriser en 1986 les cartoons réalisés en noir-et-blanc pour le marché de la télévision, chez le studio Entercolor Technologies de Fred Ladd (ce dernier étant également responsable de la colorisation d’autres cartoons tels que Porky Pig, Betty Boop, When Funnies Were Funny…). Le procédé, qui consistait à retracer entièrement les épisodes à la main, donnait alors un résultat assez douteux ; si les couleurs sont globalement correctes, l’animation s’appauvrit et perd en charme puisque le nombre d’images par seconde se retrouve divisé par deux, et des erreurs se glissent également de temps à autre, rendant le mouvement des personnages assez brouillon et confus. On notera d’ailleurs que ces versions colorisées serviront de base au doublage français des épisodes concernés.
Filmographie de Popeye
* Courts métrages et séries
1933-57 – Popeye (cartoons)
1960-62 – Popeye (série TV)
1978-83 – Les nouvelles aventures de Popeye (série TV)
1987 – Popeye, Olive et Mimosa (série TV)
2018 – Popeye’s Island Adventures (web-série, inédite en France)
* Longs métrages
1972 – Popeye Meets the Man Who Hated Laughter (téléfilm d’animation, inédit en France)
1980 – Popeye (film live-action)
2004 – Le Voyage de Popeye : A la recherche de Pappy (film d’animation direct-to-vidéo)
Années 2010 – Popeye (film d’animation, annulé)
Cette fiche est une réactualisation, totalement réécrite et fortement développée, de la fiche rédigée par Nizou le 8 septembre 2003.
Liste des épisodes
FLEISCHER STUDIOS
000. Popeye vedette de cinéma (pilote)
001. Je suis qui je suis
002. Souffler n’est pas prier
003. Moi, je mange toujours des épinards
004. Vraiment, y a plus de saison
005. Effectivement ça trompe
006. C’est l’heure de faire dodo
007. Laissez-les se battre
008. L’homme sur le trapèze volant
009. Est-ce que vous pouvez tenir le coup
010. Shoein’ Hosses
011. Il faut savoir rester fort jusqu’au bout
012. Question de tremblement
013. Jeux de hache
014. Olive est somnambule
015. Alerte au feu
016. Le concours de danse
017. On est là pour vous servir
018. Prenez garde au grand Bill
019. Soyez gentils avec les animaux
020. Bonjour enchanté !
021. L’hypnotiseur hypnotisé
022. Le choix des larmes
023. Pour le meilleur et pour l’empire
024. Drôles de plongeurs
025. Ce que c’est beau le football
026. Popeye, le roi du mardi gras
027. Les aventures de Popeye
028. Symphonie en épinards
029. Vie, vigueur, vitalité
030. Un homme bien rasé
031. Fraternellement vôtre
032. La neige, la neige et alors quoi
033. Pont droit devant
034. Il n’y a plus d’épinards
035. Je voudrais être maître-nageur
036. Vive les déménagements
037. On ne frappe pas une dame
038. Qu’il est mignon, ce Mimosa
039. Hold the Wire
040. A fond les épinards
041. Popeye rencontre Sindbad le marin
042. Vive la marine
043. Un métier haut placé
044. Popeye connaît la musique
045. La fièvre artistique
046. Hospitalité s’il vous plait
047. Ca, c’est du sport
048. Morning, Noon and Nightclub
049. Mimosa en vadrouille
050. Ça va voler haut
051. Ce que j’aime les bébés
052. C’est le pied, le foot
053. Pour protéger les plus faibles
054. Popeye au pays d’Ali Baba et les 40 voleurs
055. Le beau cadeau
056. Faisons la fête
057. Un homme élégant
058. L’architecte d’occasion
059. Le grand chef Ugh Amugh Ugh
060. J’ai le mal d’amour
061. La plomberie c’est un jeu d’enfant
062. Bizarre, bizarre
063. Olé taureau, c’est qu’il me ferait mal
064. La mutinerie est un vilain défaut
065. Le pays des Bizarroïdes
066. Comme sur des roulettes (ou) Rendez vous au skating
067. La police a toujours raison
068. On recherche clients
069. Aladdin et la lampe magique
070. Laissez-moi tranquille
071. Un vrai cauchemar
072. Les fantômes
073. Bonjour comment je vais
074. Ne chassez pas le naturel
075. Le petit a le sommeil profond
076. Être des épinards et ne pas être
077. Souvent femme varie
078. Voler ce n’est pas vraiment correct
079. Me Feelins is Hurt
080. Onion Pacific
081. Tu trouves ça si mystérieux ?
082. Les gardes d’enfants
083. Les amis-ennemis
084. La cascade prodigieuse
085. Les femmes ne devraient pas conduire
086. Vive le vaudeville
087. Popeye et Guillaume Tell
088. Mon brave papa
089. Du calme, Pappy
090. J’ai le plaisir de vous présenter Eugène
091. Pappy accumule les problèmes
092. Silence SVP
093. Le billet gagnant d’Olive
094. Voler n’est pas jouer
095. Popeye fait la rencontre de sa vie
096. Le cadeau d’anniversaire d’Olive
097. Psychologie enfantine
098. Drôle de pilote
099. C’est in-croâ-yable !
100. A la guerre comme à la guerre
101. Hypnose
102. Il n’y a pas de la conga
103. Blunder Below
104. La flotte prend l’eau
105. Popeye Pupeye Poopeye
106. Olive n’apprécie pas du tout l’eau
107. Avec tous nos remerciements
108. Bébé veut un bateau
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FAMOUS STUDIOS
109. Tu ris jaune dis donc
110. Alona et le sable chaud
111. Quelle coquille de noix
112. Scrap the Japs
113. Mes neveux aiment la musique
114. Des épinards pour la verte Albion
115. Popeye en voit de toutes les couleurs
116. Trop faible pour travailler
117. A Jolly Good Furlough
118. Il faut savoir se rationner pour tenir
119. Le bouc affamé
120. Joyeux anniversaire
121. A pivert, pivert et demi
122. Ils ne sont pas humains ces dessins-là
123. Her Honor the Mare
124. Le manège amoureux
125. En route pour Rio
126. The Anvil Chorus Girl
127. Spinach Packin’ Popeye
128. Puppet Love
129. Visite au zoo
130. Question de poids
131. Du super Popeye
132. Popeye au court bouillon
133. Quel drôle de cirque
134. Shape Ahoy
135. Docteur, vous n’êtes pas malade ?
136. Une production minable
137. House Tricks
138. Service compris
139. Casanova
140. Un précieux trésor
141. Fusée pour Mars
142. Le rodéo de Roméo
143. Le magicien
144. The Island Fling
145. Le parc d’attractions
146. I’ll Be Skiing Ya
147. The Royal Four-Flusher
148. Popeye et les pirates
149. Mais pourquoi pas
150. Un safari ça fait rire
151. C’est la fête
152. Olive présidente
153. Les joies du wiqwam
154. L’homme préhistorique
155. Popeye rencontre Hercule
156. Le cheik rembarré
157. Epinards contre hamburgers
158. Snow Place Like Home
159. Robin des épinards
160. Symphony in Spinach
161. La première de Popeye
162. Lumberjack and Jill
163. Coup de chaleur
164. A Balmy Swami
165. Une étoile qui file
166. Délire campagnard
167. Chien qui aboie met en émoi
168. Le dernier vol
169. Il était vert mon épinard
170. C’est tonique la gym
171. Beach Peach
172. Jitterbug Jive
173. Popeye tourne un film
174. Bébé veut des épinards
175. Quick on the Vigor
176. Rébellion en rythme
177. Le fermier et la belle
178. Des vacances sportives
179. Thrill of Fair
180. Alp la alp la alp la
181. Double-Cross Country Race
182. La dinde de Popeye
183. Let’s Stalk Spinach
184. Punch and Judo
185. Le papa de Popeye
186. Lunch with a Punch
187. Faut savoir nager dans la vie
188. Ami ? Vous avez dit ami ?
189. Sombre carrière
190. Popeye au Texas
191. Le sommeil de Popeye
192. Le grand Simbad (ou) Le grand méchant Sindbad
193. Histoire ancienne
194. Child Sockology
195. Aujourd’hui c’est mon anniversaire
196. Toréadorable
197. Bébé veut se battre
198. Pompier bon oeil
199. Popeye, l’as de l’espace
200. Chez le coiffeur
201. Que d’eau, que d’eau
202. Le 20e anniversaire de Popeye
203. Hep taxi
204. Le manche et la bête
205. Greek Mirthology
206. Trèfle de plaisanterie (ou) Je n’ai pas peur
207. Popeye détective privé
208. La taupe et les épinards
209. Gags cuisinés (ou) Poisson d’avril
210. Nurse to Meet Ya
211. Les temps sont durs
212. Beaus will be Beaus
213. Plaisanter faut savoir
214. Popeye et les chauffards
215. Je veux parler au père Noël
216. Avec la police, ça glisse
217. Olive au Far West
218. Hill-Billing and Cooing
219. Popeye président
220. Hors de combat
221. L’offense et la flatterie (ou) Coups et blessures
222. Insectes à détester
223. Parlez-moi d’amour
224. Fais moi peur
225. A Haul in One
226. Ah, le mariage (ou) Jeunes mariés
227. La boule de cristal
228. Popeye est patriote
229. Un déjeuner choc c’est chic (ou) Repas gratuit
230. Fantômes dans le vent
TITRES NON IDENTIFIÉS
Une belle rencontre
Trop royal ce jeu
Le service laisse à désirer
Enfin tranquille
Une santé de cheval
L’hypnotisme ça m’endort
Un petit coup de froid
Bonne nuit Popeye
Une répétition constructive
Un tour à faire
Un tournoi tournoyant
La cascade impossible
La cinquième vitesse
Les valises en vitesse
C’est beau la force
Sauvez mes épinards
Honni soit qui mal y pense
Le travail c’est un boulot
Coucou ne me fait pas peur
La vie au grand air
C’est Popeye le plus fort
La main qui chante
Et si on changeait d’air
Le compagnon de jeu
Vive la vie de famille
Abracadabra raccourci
Raccrochez pas
Un point c’est tout
Il cale papy
Une petite tranche d’histoire
Maman, maman
Olive prend des vacances
Gentils, les vilains
Hypnose à tort et à travers
Le plagiste plagie
Tours et détours |
Doublage
Voix françaises (Studio SOFI) :
Jacques Hilling | Popeye (doublage 1967) |
Pierre Trabaud | Popeye, Poopdeck Pappy (doublage 1989) |
Monique Thierry | Olive Oyl (doublage 1989, 1990, 2008), Mimosa, voix additionnelles (doublage 1989) |
Francis Lax | Brutus, Gontran/Wimpy, voix additionnelles (doublage 1989) |
Maurice Sarfati | voix additionnelles (doublage 1989) |
Patrice Baudrier | Popeye (doublage années 1990) |
Françoise Blanchard | Olive Oyl (voix principale / doublage années 1990) |
Marc Bretonnière | Brutus, Gontran/Wimpy, voix additionnelles (doublage années 1990) |
Gérard Surugue | Popeye (doublage 2008, épisode 41) |
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